lundi 23 mai 2011

7ème semaine sur 3DS

Du 5 au 11 mai 2011. Dans la continuité de la semaine précédente, c'est Splinter Cell 3D qui a occupé 100 % de mon temps de jeu sur la console. J'avançais tous les jours un peu plus. Aucun blocage, malgré quelques passages délicats recommencés plusieurs fois. Mais quel plaisir à chaque partie. Vraiment un jeu qui se révèle au fil de la progression, avec des niveaux de plus en plus agréables à parcourir. J'en venais même à ne plus respecter mon principe de jouer seulement le soir au casque et dans l'obscurité.


En pause au taf ou au petit coin, je ne pouvais m'empêcher de reprendre le jeu pour y avancer un peu et neutraliser deux ou trois gardes. J'aimais particulièrement les moments où on s'infiltre à New York ou au Japon. On ne doit y tuer personne, car les gardes sont en fait dans notre camp ! Heureusement, la fonction "assommer" rend la chose faisable, même s'il est impossible de passer en force en tuant tout le monde à la mitrailleuse comme je l'ai parfois fait dans d'autres niveaux (trop bon !).

En fin de semaine, ce qui devait arriver arriva : j'ai fini le jeu ! Toujours un plaisir de boucler un titre mais en même temps, frustration ! Comme dit le poète Alex Draven dans son fameux haiku vidéoludique :

Niveau terminé
La fin du jeu, les crédits
Mais à quoi jouer ?

Eh oui, je suis resté orphelin devant mon écran 3D, alors que défilaient les noms de l'équipe de développement... trop cruel ! Certes, je peux tenter de rejouer des courses de Asphalt 3D afin d'aller au bout du niveau 60, certes, je peux redonner une chance à Ridge Racer en tachant de voir si en avançant, les choses ne se passent pas mieux... Mais j'étais tellement bien dans la peau de ce Sam Fisher portable, que c'est vraiment dur de s'en passer.

Finalement, tout comme pour Asphalt, je me suis rappelé qu'il y avait un Splinter Cell sur PSP, sous-titré Essentials et sorti en 2007. Je l'avais zappé à l'époque, alors pourquoi pas ? Eh bien non, malheureusement, pas une once du plaisir de la version 3DS dans cet opus, car celui-ci n'offre pas la caméra libre sur les touches de droite, on doit subir une caméra automatique comme sur DS. Ca semble un détail, mais en réalité ça change tout et c'est très frustrant de jouer ainsi. Tellement d'ailleurs que j'ai renoncé à la version PSP très rapidement. Quelle erreur de nous priver du contrôle de la caméra !

En route donc pour Asphalt 3D et Ridge Racer, en attendant une sortie un peu tripante parmi les rares nouveaux jeux 3DS...

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